C’est beau non ?
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Une petite note ‘Bournesque’ dirons nous. J’ai complètement oublié de vous parler du site de la vengeance dans la peau. Tout en flash, celui-ci incorpore dans son introduction une time line reprenant des passages du film (avec bande son en prime) et une multitude de rubriques sur les personnages (classique en somme) mais plus soigné qu’a la coutume. En revanche les sous parties sont délaissées c’est dommage, notons tout de même que les ambiances sonores changent. Pas fabuleux me direz vous, mais pas désagréable non plus ! Un gros gros Up pour la Time Line vidéo et pour la musique zen qui accompagne la catégorie production. A voir en version US de préférence.
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La trilogie Bourne par R.Ludlum
Film très attendu à la fin de cette année 2007, la Vengeance dans la Peau, clôture de façon magistrale la trilogie racontant les aventures de l’agent secret, Jason Bourne.
Série à succès, suivit de près par des fans de toutes nationalités confondues, les personnes connaissant l’origine de ce personnage fictif sont, cependant, rares.
En effet, La Mémoire dans la Peau, La mort dans la Peau et la Vengeance dans la Peau ne sont que des adaptations cinématographiques des romans de Robert Ludlum. Ceux qui auront eu la curiosité de lire ces livres, auront sûrement remarqué quelques différences notables et plutôt conséquentes entre les deux versions.
Tout d’abord, au sujet de notre héros… LE Jason Bourne. Si le nom ne change pas, l’apparence elle, n’est pas la même. On ne peut qu’être surpris du choix du réalisateur, Doug Liman, au sujet de son acteur principal : Matt Damon, incarne un homme fougueux, nerveux et téméraire, dont la musculature n’a rien a envié à Hulk et autres supers héros du même genre.... Rien à voir avec le héros initial de R. Ludlum qui avoisinait les… 40 ans !
Passons ensuite à la compagne de notre jeune ami [pas si jeune que ça comme nous venons de le voir]. Une nouvelle fois, les réalisateurs ont pris une certaine liberté, et ont façonné un personnage bien éloigné de la Marie d’origine… On voit donc à l’écran une jeune femme un peu perdue, comme on en voit tant aux Etats-Unis, qui suit Jason Bourne dans ses aventures, tachant de l’aider de son mieux. Mais avouons-le : c’est souvent Jason qui la sort du pétrin, et non pas l’inverse…
Robert Ludlum avait imaginé une femme plus mûre et d’une autre trempe. Marie St Jacques [autre liberté : ils n’ont pas gardé le même nom…], n’est absolument pas démunie : elle travaille au consulat du Canada, à un poste plutôt haut placé… Jason la rencontre lors d’une conférence, et la prend en otage pour pouvoir sortir de la bâtisse, alors occupée par des gens qui ont en après lui. Ce n’est qu’après avoir sauvé la vie de Marie que cette dernière se décide alors à l’aider dans sa quête de vérité.
Autre différences notables : Chez Ludlum, Marie ne meurt pas au court de l’aventure. Elle l’épouse même et se retrouve embarquée à ses côtés dans la pire des aventures…
Pour revenir à Bourne, on nous dit que c’est un ancien agent secret de la CIA, formé pour être un tueur hors-pair qui exécute des contrats spéciaux. On nous présente donc, dans le film, un héros torturé par le souvenir de ses anciens crimes qui lui reviennent à la mémoire.
La mission que Ludlum a confié à Jason Bourne, est d’une autre complexité… Ainsi Bourne, de son vrai nom David Webb, a été choisi pour traquer UNE personne. Le personnage de Jason Bourne a été crée de toutes pièces par la CIA afin de piéger un tueur international, Carlos, dit le Chacal. C’est cette traque que nous suivons au cours de ces romans, avec pour final, le combat entre ces deux légendes du crime…
De ce fait, on assiste à une sorte de dédoublement de personnalité chez Bourne/Webb. Chacune des deux facettes prenant tour à tour le pouvoir, créant une sorte de folie destructrice chez notre héros… Chose qui est développé avec moins de force dans l’adaptation cinématographique.
En conclusion, on peut donc dire que les libertés prises autour des personnages et de l’intrigue de Robert Ludlum font de ces films une histoire presque différente, que l’on peut suivre indépendamment des livres. A notez cependant qu’il est bon de lire les romans, ne serait-ce que pour apprécier l’extrême qualité de sa plume, et la manière dont il nous transporte au cœur de ce monde d’espionnage…
Note : Avant l’adaptation récente proposée par Doug Liman, un autre film/mini série avait été réalisée en 1988 par Frederick Muller. Plus ancienne, les acteurs et l’intrigue se rapprochent davantage du best seller de Robert Ludlum.
Myaka
[Merci à notre chère Mya pour cet article, elle entre dans le tableau des Guests de ce Blog ! C'est toujours un plaisir de vous recevoir ici Melle !]
Avant la critique sur ce dernier opus actuellement dans les salles obscures, je vous offre la bande annonce. Certains n’ont certainement pas la chance de connaître la fin de la trilogie. Pour ma part j’ai visionné ce trailer en Chine au tout début de l’année, ils étaient sacrément en avance ! Ca m’avait fait un choc, c'était assez amusant . Je craque pour la musique qui accompagne la fin ! Je vous laisse juge, profitez en bien !
Charlotte
J’avais perdu de vue notre cher Moby depuis un moment. C’est vrai que ce qu’il fait ne me plait pas entièrement, rares sont les chansons qui viennent charmer ma douce oreille. C’était sans compter sur son dernier titre, du moins celui qui figure sur la BOF (ndlr : Bande originale de film) de la ‘Vengeance dans la peau’ ! Je trouve qu’il s’accorde parfaitement à l’univers tourmenté de Jason Bourne, à sa cavale, mais aussi à la route, oui à la route, au voyage, au perpétuel mouvement, aux paysages qui défilent pluie sur le pare-brise de la voiture. C’est dont un excellent morceau qui prolonge le plaisir du film à la sortie de la salle.
Pour une fois restez jusqu'à la fin du générique, d’une part pour la musique mais également pour un excellent travail de typographie animée. Succulent !
Note : 9/10
Charlotte
Référence du Vintage, ce site aux couleurs funky nous informe sur toute cette période passant de la musique aux infos, un design soigné et un auteur amoureux des coupes afro. Un petit cocktail détonnant qui ravira les fans de saoul. Au passage le web master réserve une partie Artwork ou encore mode que demander de plus... Enjoy !
Charlotte
Note : 8/10
Ce titre est super entraînant, bon c’est Salsa mais ça donne de bonnes couleurs et ça fait bouger ses petites jambes. Au passage encore une Pub dans la ligné Ipod qui est très réussie et qui mériterait d’être un chouilla plus longue ! J’adore les effets et puis un Pod à la main c’est encore plus beau !
Pour le Titre et L'Artiste : Quantic & Nickodemus - Mi Swing Es Tropical
Charlotte
Note 7/10