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Bonjour à toutes et à tous, vous allez entrer sur One Word, Two words, le blog des nouveautés du cinéma, de la musique, de l'internet, des pubs et de bien d'autres médias. Nous vous souhaitons une agréable lecture.
N'hésitez pas à nous laisser vos avis dans les commentaires !

La rédaction

mercredi 29 août 2007

Aéronef Partie 3 [Annonce]

Aéronef Partie 3
Le voyage avait été épuisant. Je m’étais habituée aux secousses régulières de l’appareil et aux virages un peu trop secs. Nous volions à une distance raisonnable de la première coupe de nuages, le ciel était lumineux et chaleureux contrastant fortement avec les terrains dévastés plus bas. Nous filions en ligne droite désormais, croisant parfois des espèces rares qui tourbillonnaient dans les courants porteurs. J’avais horriblement faim et soif, de plus je commençais à me sentir coupable d’avoir embarqué dans cette machine volante. J’étais juste parvenue à faire le bon choix, je ne savais pas qu’après le passage de Prime, mon village avait été attaqué et qu’il n’en restait que les fondations. En effet ce que l’on appelle les Decepticons, étaient remontés jusqu’au plateau de Dargaud, tentant de rechercher les derniers porteurs du gène ennemi et de les éliminer une bonne fois pour toute.
Ma machine était forcément au courant de ces agissements, elle continua cependant de se taire, me laissant le silence comme seul ami. Nous étions presque arrivés et nous commençâmes à perdre progressivement de l’altitude, coupant soigneusement les masses titanesques de cumulus blancs. Elle me revint alors, cette image de la terre, détruite et labourée, anéantie par des années et des années de lutte contre une force aussi immatérielle que destructrice. On pouvait remarquer que les derniers déplacements des nomades devenaient de plus en plus rares, ils ne laissaient que de fines traînées alors que j’adis leurs sorties se faisaient en masse, recouvrant les territoires, inondant les routes et les champs. La pomme avait bien changé depuis ces années dorées, elle déclinait paisiblement sous les effets du temps, la statue de la liberté elle, nageait parmi les poissons ne laissant qu’une image flou de ce qui constituait son visage et ne faisant parler d’elle que par son flambeau rouillé à demi apparent lorsque la mer était calme. De nouveaux villages s’érigeait dans de petites forteresses, noyés entre les bidonvilles et les quartiers de béton armé.
J’en eus les larmes aux yeux, comment l’humain avait pu décliner autant durant cette guerre. Je revins à la réalité lorsque au loin, la ou le paysage semblait se couper, baignés dans le soleil on pouvait apercevoir des combats incessants, celui des machines d’acier. Comme si c’était normal, on passa brièvement sur le sujet voguant à ses occupations, il n’était pas rare d’aller observer les aliens se démonter pour le plaisir, on prenait une demi journée, on se faisait tuer et on enfonçaient un peu plus les vestiges de la race humaine. De la débilité humaine plutôt, car les gens n’avaient plus goût à se battre contre ses forces de la nature et préféraient mourir plutôt que de souffrir encore plus.
Nous nous posâmes dans la seule prairie en fleur du pays, l’appareil me lâcha à un ou deux kilomètres du premier village, ici tout semblait à part, certaines femmes battaient les lieux pour cueillir des plantes, d’autres alimentaient les puits de roseaux. L’autobot m’annonça qu’il ne pouvait venir avec moi, il était trop voyant et risquerait d’attirer du monde. Il s’éclipsa en une autre machine, carcasse rouillée d’une vieille américaine gisant dans un litre de boue et de plantes. Sur les arbres les carillons rusaient avec les feuilles créant des mélodies douces et diffuses qui apaisaient les inconnus. Leurs cristaux brûlaient à la lumière, éclairant le sol de rosaces multicolores et mystiques. Que ce passait t-il ici ? La vie renaissait donc, était-ce possible ? Mon rêve fut vite brisé lorsque sortant de la pâture, un immense village déstructuré s’imposa. Certes la vie était bien là, mais elle semblait désolée et perdue.
Les murs criblés de balles témoignaient tristement des attaques incessantes et le sang séché sifflait doucement donnant au macadam éventré le soin de pleurer ses passants. J’avais des instructions, la première était de trouver la station des Dames, je parcourus l’avenue et m’engouffra dans une ruelle brûlante, laissant aux habitants la dure tache de l’éventer. La station des Dames était un ex commerce tenue par un certain Sam, il avait environ trente cinq ans, il était balafré et idolâtrait sa vieille caisse pourrie à l’entrée, une Camaro il me semble. Je me dus de le ramener au présent, lui tendant une carte mémoire donnée plus tôt par Optimus.
Le jeune homme bien qu’un peu fou en apparence, quitta toute activité et esquissa un grand sourire, sautillant joyeusement dans la pièce. Il se présenta alors sous le nom de Witwikki, c’était en réalité le premier homme à avoir tenu la relique des Autobots et aussi le premier à avoir détruit Megatron, le leader des Decepticons. Le premier car ce fameux Megatron avait étrangement plusieurs vies et surtout plusieurs carcasses où se réincarner. Il posa sa main sur mon épaule et ouvrit une porte dérobée derrière un distributeur, sans un mot nous quittâmes la surface de la terre pour nous enfoncer dans une sorte de couloir d’ascenseur réhabilité. J’étais certaine qu’avant de disparaître du commerce, la Camaro n’était plus là…




samedi 25 août 2007

Aéronef Partie 2 [Annonce]



Aéronef Partie 2


Il scrutait mon visage, détaillant chaque trait, chaque cellule de mon corps, il savait ce qui se passait réellement en moi, il m’observait avec attention tentant de parer le moindre sentiment qui entraînerait une fuite. Voila enfin à quoi ressemblait ceux qui nous avaient réduits à vivre dans leur ombre, voila l’espèce si douée qui avait pris la terre en otage, j’aurais du lui en vouloir, j’aurais du courir jusqu'à la cave et prendre mon arme, tirer toutes mes balles et périr.
Je ne pouvais bouger, mes doigts me piquèrent lentement, tétanisée un filet de sang coula lentement de la paume de mes mains venant se mêler au tapis crasseux qui avait recouvert la route. Le lien était trop fort, apeurée mais en même temps intriguée par le colosse je ne pouvais faire demi tour. Sa mécanique se remit en route et élança son membre inférieur vers l’avant, il se déplaça lourdement jusqu'à ma position et ne fut plus qu’a quelques centimètres de mon visage. Comment se sentir en confiance, aucun filet chaud s’émanait de sa face, sa pupille restait stoïque aux émanations du cristal, aucun cœur ne tambourinait dans cette cocotte minute géante.
Rien, rien ne pouvait me rassurer et pourtant je sentais que notre communication irait bien au-delà qu’une simple parole. Et c’était le cas, l’autobot se releva et se poussa atteignant mon côté droit afin d’accueillir une nouvelle recrue. Celle-ci s’était jusqu’a présent tenue dans l’ombre de son prédécesseur, attendant ses instructions. Prime lança quelques gestes courts et nets avant de lui donner ses directives. Je ne compris pas tout de suite ce qu’il voulait de moi mais en voyant son congénère prendre du recul et se transformer je sus vite que l’heure du départ était venue. Comme un parent bienveillant Optimus me dit qu’il n’y aurait rien à craindre sauf la mort et que j’étais leur seul espoir, il posa une phalange sur mon épaule jaugeant sa force afin de ne pas me briser.
Le cristal éclata venant s’incruster en miettes sur ma peau, je fus poussée jusqu'à l’autre robot qui avait prit la forme d’un ancien appareil aérien. Je me retournai une dernière fois vers celui qui m’arrachait aux miens, je savais qu’il disait vrai et que c’était mon destin,quelques minutes plus tard je décollais sans broncher, sans même éprouver le moindre sentiment pour mon premier baptême de l’air en compagnie d’un être non identifié et assurément destructeur. Un mot s’affichait sur l’écran tactile du cockpit, malgré les turbulences et le jeu d’ombres causé par les pales de l’appareil j’aperçus ce qui ressemblait à une destination, à notre destination. En lettres lumineuses s’inscrivait le nom D’Andecat, nous nous dirigions vers ce qui étais jadis la grande ville de New York, celle ou tout avait commencé, celle qui était le berceau de leur vie et le début du néant pour la notre. Sous le choc, les bruits me paraissaient inexistants et la lumière fit bientôt place à une obscurité cotonneuse qui me poussa dans les bras de Morphée. Cette nuit la, nous allions faire plus de six mille kilomètres et ce sans penser au passé…
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Charlotte





Aéronef Ordre de lecture [on aime]



Aéronef Ordre de lecture

Préface

Partie 1

Partie 2

Partie 3

Je vais compléter cette liste afin que plus tard vous puissiez lire agréablement toute la saga sans avoir à chercher entre les articles du Blog !

Pour ce qui est de la suite des aventures D' Izabella, des musiques seront intégrées et viendront entrecouper des passages importants, pour que vous puissiez profiter encore plus de l'ambiance nous vous invitons à les lancer lorsquelles apparaîtront ! Enjoy !

Merci pour vos commentaires

La rédaction

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vendredi 24 août 2007

Aéronef Partie 1 [Annonce]


Aéronef partie 1


Dargaud Ex Europe, An 2040

La face de notre terre n’avait pas seulement changé, les climats s’étaient déplacés, en Ex Afrique le désert était devenu une immense foret verdoyante, l’Amérique elle aussi s’était mise au vert alliant oasis et petits villages, certaines parties n’ayant pas vogué vers l’espace et son infinité beaucoup de zones étaient reconstruites sur les ruines enfouies sous des dizaines de mètres cube de terre, de sel et de sable. Les pôles étaient habitables et s’autorisaient même des saisons raisonnables. Quand au morceau Européen il était vide d’hommes, ou presque, des êtres avaient subsisté faisant des petits villages minables de l’époque d’immenses colonies puissantes et riches. Malgré ce qui se passait en dehors de nos frontières nous n’étions pas plus inquiétés par les invasions, cependant nos ancêtres ayant vécu avec le passé mettaient tout en ordre afin de ne pas reproduire les mêmes erreurs et connaissaient les solutions pour protéger leur peuple. Ma vie n’est pas si différente que celle des autres adolescents que je connais, je suis juste un peu plus couvée que la normale, mon temps je le passe à concevoir des réseaux sécurisés sur Ejilor qui à remplacé progressivement Internet devenant une source d’informations trop accessible pour les autres. Mes amis sont pour la plupart déjà engagés dans les groupes armés de la liberté et s’en vont au front combattre nos ennemis. Je n’ai pas été appelée, ma vision n’était pas assez bonne, je reste à l’arrière pour supporter les troupes virtuellement, mes virus sont très prisés. Je m’appelle Izabella Sandrar, fille d’Arthur et de Mojina, j’ai dix-huit ans et je vis actuellement sur les vestiges de la France renommée Dargaud par les nouveaux dirigeants de la révolution. Je suis seule dans la famille et les anciens de notre clan sont connus pour avoir mené de grandes révoltes, notre histoire est lourde mais je crois que je survivrais. Je suis liée avec un Autobot, un des visiteur de l’espace ayant eut la dignité de préserver notre planète et non de la détruire. En revanche, ce contact est uniquement psychique, je ne suis pas encore prête à le maîtriser, rares sont ceux qui possèdent ce lien et sont encore plus rares ceux qui lui ont survécu. Nous sommes fichés, sur notre omoplate nous portons leur marque et autour de notre cou pend un morceau de leur structure qui est censé briller le jour ou nous serons prêts. Beaucoup pensent que c’est un privilège, mais la majorité sait très bien que ce n’est pas un cadeau, c’est plutôt un fardeau, tout simplement notre destin et qu’il ne sera pas des plus doux.
Chaque matin on se lève la peur au ventre, celle d’apercevoir du haut de notre balcon un Autobot, celle de voir briller notre pendentif, celle de devoir quitter notre famille, celle de ne pas en revenir.
Je me croyais à l’abri de tout ça, je pensais qu’ils m’avaient oubliée, je me trompais car par un bel après midi d’été ma vie bascula. Plantée devant mes écrans assommée par la chaleur, une lumière éblouissante vint perturber mon coma, d’un bleu électrique elle semblait avoir le pouvoir de tout traverser et j’eus alors l’impression d’être imprégnée par une matière bienfaisante qui prenait soin de remettre de l’ordre dans mon esprit.
J’étais pétrifiée, je contemplais sans mot les nuances du cristal soudain, un tremblement lourd vint perturber cette communion étrange, des cris s’élevèrent dans le village et rapidement on pu identifier quelques mots à la volée, un seul retint mon attention « Autobot » !
Comme guidée par un automatisme je descendis quatre à quatre les escaliers courant à toute allure jusqu'à la rue, de la on pouvait apercevoir une structure massive se déplaçant parmi les toits, elle prit l’angle et se dessina seule au milieu de la panique, les gens fuyaient dans tous les sens allant jusqu'à se marcher dessus. L’être d’acier ne fit rien, il s’immobilisa et détourna ce qui s’apparentait à sa tête pour pointer dans ma direction un rayon semblable à celui qui s’emmenait de mon collier. Un silence se posa sur les habitations laissant au vent la joie de faire retomber doucement les nuages de poussière acre. Je ne puis prononcer qu’un mot, dicté par une voix mystique qui s’exprima enfin par mon intermédiaire et ce mot, ce tout premier mot fut son nom « Prime, Optimus Prime » c’est à partir de se moment que l’aventure commença…
Charlotte

Aéronef la Saga [annonce]


Aéronef


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Rien n’est plus comme avant, mais tout va pour le mieux dans le pire des mondes. Ils avaient prévu la fin de notre planète, une catastrophe dévastatrice, aucune chance pour l’humanité, la fin d’une aire. On pensait ne jamais s’en sortir lorsque notre terre elle-même s’est retournée contre ses agresseurs. Un jour comme un autre elle s’est immobilisée commençant à renvoyer ses occupants, des pants se sont détachés du cœur perdant dans l’espace des continents entiers et leurs populations, puis elle les a remplacés par d’autres, vierges de civilisation, vierge de la quelconque trace d’humanité laissant aux survivants la démonstration implacable de sa domination et de sa toute puissance. Puis ils sont arrivés, ils ont commencés à prendre nos terres menant de front leur guerre sans se soucier des dégâts qu’ils faisaient. Ce conflit n’est pas terminé et nous savons tous aujourd’hui que nous ne pouvons pas rester la à les voir détruire nos vies.
Nous naissons dans le but de survivre et de combattre, nous naissons pour aider ceux qui descendus du ciel tentent de stopper ces affrontements. Car en effet deux clans s’affrontent l’un tentant de préserver notre race et sa propre progéniture et un autre qui lui anéanti tout sur son passage dans le but de recréer les siens. Nous assistions dépourvus de moyens aux agissements des envahisseurs jusqu’au jour ou nous avons pris connaissance de leur technologie et depuis ce temps, ces êtres de métal ont à leur coté une population de chair et d’os déterminée à vivre encore quelques milliards d’années. Certains êtres disséminés aux quatre coins du monde portent en eux un pouvoir étrange qui en fait des personnes exceptionnelles capables de mener jusqu'à la victoire nos alliés du ciel. Lorsque d’autres ont déjà vécus les plus gros affrontements de ces trente dernières années, la plupart ne vivent que depuis peu et ne peuvent pas encore prendre partie à l’histoire. Cachés, protégés par des groupes de rebelles les plus jeunes profitent d’une jeunesse sereine qui toutefois n’est pas éternelle, chacun sait qu’il sera appelé un jour à confronter ce qui fait de lui un homme à ses corps technologiquement et tactiquement imprenables.
Ce jour est arrivé, leur existence commence enfin et prend son sens, chacun sait qu’il n’y à pas d’issue possible et qu’une fois appelés ils ne pourront plus jamais se cacher.
L’appel à commencé, leur guerre aussi…

D’après le film de Michael Bay ‘Transformers’, One Word vous présente ‘Aéronef’ sa saga de l’été.

Par Charlotte

jeudi 23 août 2007

Prodigy [musique]





Prodigy
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Chaque film à sa Bo, chaque Bo à son auteur aussi talentueux qu’il soit Prodigy reste serein et nous fournit une musique electro-rock très entreprenante. Des sons métalliques liés à des rythmes chauds et industriels, des voix planantes et une ambiance démontée digne des plus grandes raves parties. Formée en 1990 il va mener son petit chemin jusqu'à « Charlies Angels » ou encore « Wasabi » et plus récemment sur un trailer promouvant « Tomb raider legend ». Je vous laisse écouter, pas trop fort, c’est bon pour vos oreilles !
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Note : 9/10
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Charlotte

mercredi 22 août 2007

Paris by Stéphane en exclu [on aime]



Entre fleuve et terre.

C’était un de ces soirs de printemps parisien. Je marchais le long du quai près de l’hôtel de ville. J’étais en compagnie de mon amie Zelda qui me dit :« Etienne, elle te va bien cette chemisette rose que je t’ai offerte.
- Oui, mais j’ai toujours l’impression que ça fait un peu trop efféminé.
- Mais non ne t’inquiète pas, les filles adorent ça. Et puis c’est parfaitement assorti avec ton pantalon H&M et tes petits derbys style chaussure de tennis. J’adore.»
Zelda avait un genre à part. Plutôt grande, c’était une très jolie rousse avec deux couettes plantées en hauteur. Elle portait un pantalon large, des baskets épaisses et un body ultra-moulant qui ne me laissait pas de glace. Je lui répondis :
« Merci, tu n’es pas mal non plus.
- Ne me fais pas trop de compliments… Dis, ce soir j’ai envie de me faire un latino.
- Un quoi ?
- J’ai envie de me faire un mec, un latin quoi.
- Tu es toujours pareil. Tu sais comment on appelle ça !
- Oui, je sais, mais ça me plait. Et puis, suis-moi, je vais t’emmener dans un endroit que tu ne connais pas. »
Et j’accompagnais Zelda. Ma jolie parisienne allait me montrer une de ses cachettes. Nous traversions le pont et continuions quelques centaines de mètres avant de descendre sur les berges. La Seine se dévoila à nous, romantique comme à son habitude. Alors, comme par magie, une musique toute colorée se fit entendre. Un son de congas réchauffait déjà l’atmosphère. Un concert de salsa avait lieu entre la ville et le fleuve. Nous étions transportés ; c’était comme si une plage de Cuba s’était installée là. Toute l’Amérique du sud dansait sur le rythme endiablé et sensuel de la clave de la salsa. De l’Argentine au Mexique, ils étaient tous là. Zelda partit en quête d’une nouvelle proie. Je me pris à danser, tant bien que mal. Sur la Seine les bateaux mouches s’entrecroisaient en éclairant puissamment les berges, tels des stroboscopes géants. Je me laissais enivré par la mélopée de la musique. J’étais parti, j’étais ailleurs.
Un peu plus tard, je flânais seul. J’avais laissé Zelda à ses amours et j’étais remonté sur les quais des bouquinistes. Je voyais Notre-Dame de dos. M’appuyant alors contre le rebord d’un muret de pierre, je regardais couler la Seine et je pensais en mon fort intérieur « Te quiero Paris, ciudad de luz. ».

Stéphane Curet
Mai 2002

Merci à Stéphane pour ce nouvel Article ahhh l'art de la rue !


Banlieue 13 [film]



Banlieue 13


Reprenons les choses dans l’ordre, Damien est un membre de l’armée spécialisé dans les arts martiaux et l’infiltration, il est envoyé par ses supérieurs pour désamorcer une bombe qui comme par magie s’est retrouvé dans un complexe que l’on appelle La Banlieue 13. En Effet Paris 2013 (2010) afin de contenir les débordements, des murs sont érigés et entourent les principales banlieues formant ainsi des secteurs livrés à eux même dirigés par les cartels de la drogue et les vendeurs d’armes. Léto lui travaille à sa manière pour rayer de la carte ceux qui polluent sa citée et se retrouve en conflit avec celui qui détient cette précieuse bombe. Vous suivez toujours ? Les deux hommes se rencontrent travaillant main dans la main pour résoudre leurs problèmes. Bref un film qui en soit peut paraître léger, mais qui recèle en fait un débandade de cascades impressionnantes qui se surpassent les unes des autres, offrant ainsi un numéro époustouflant aux spectateurs et un vrai moment de plaisir !
Parce que l’on aime les deux acteurs David Belle et Cyril Raffaelli et qu’ils nous servent un pur moment de haute voltige contrôlée au millimètre près, car le reste du casting n’est pas mal non plus et qu’il nous fait passer lui aussi un agréable moment de détente.
Une petite pensée pour l’acteur jouant K-2 malheureusement décédé et qui ma fois devient très attachant.

Note : 8/10

Charlotte


dimanche 19 août 2007

Semaine spéciale "Streets in the world" lancement [Annonce]

Streets in the world

One Word, Two words était ravi de vous faire partager cette semaine très américaine et vous propose une autre spéciale, celle-ci sur la rue, ses arts et sa puissance. Au programme comme je le disais nous vous ferons partager tags, acrobaties, musique et spectacles qui se développent chaque jour en bas de chez vous ! Nous espérons vous voir nombreux durant cette semaine.

A bientôt la rédaction

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Dire straits [musique]

Dire Straits,
est un groupe de rock anglais créé durant l'été 1977 par Mark Knopfler (guitare et chant), David Knopfler (guitare), John Illsley (guitare basse) et Pick Withers (batterie).

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On aime pour ces vieux airs rock, pour les ballades Country mais surtout pour un jeu unique à la guitarre, le meilleur au monde il me semble !

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Charlotte

Note : 9/10

Une Aventure au Canada, partie deux [On aime]



Stéphane nous raconte son voyage en Amérique spécialement pour notre semaine Rétro-Américaine

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Dégoûté par la dérive mercantile du site, j'errais quelques heures dans cette ville indigeste aux allures de centre commercial à la sauce foraine et je retournais attendre le car qui devait me ramener à la maison.
Le bus qui venait de Toronto arriva à l'heure. J'avais pris le même dans la matinée et il me revenait en mémoire cette affaire de SRAS. A Paris, j'avais croisé des personnels d'aéroports portant des masques et visiblement craignant l'épidémie de SRAS qui touchait le continent asiatique et quelques grandes villes cosmopolites comme Toronto, mais pas Paris (hormis quelques cas dûment répertoriés et isolés). Ici personne ne semblait s’alarmer à cause de cette maladie. Allais-je m'asseoir sur un microbe en m'installant dans le bus ? Quelle aventure !
Le retour se passa sous un ciel grisâtre. Je craignais toujours d'avoir quelques ennuis à la frontière. Me laisserait-on passer sans problème ? J'étais en règle, mais avec tous ces contrôles supplémentaires à cause des risques terroristes, j'avais quelques inquiétudes. Et puis, étant Français et compte tenu des animosités diplomatiques de l’époque, j'avais peur de subir quelques entourloupes.
A Fort Erié j'apercevais une bande de terre au bord du lac sur laquelle flottaient, en haut de longs mats, des drapeaux Canadiens et Anglais, évocation du Commonwealth. Puis, dans l'autre sens, je traversais le pont reliant les deux rives et menant aux Etats-Unis. Je n'avais jamais eu la sensation aussi concrète de me situer sur une frontière. J'étais au centre du No Man’s Land.
La douane américaine se rapprochait. En lettres géantes, fières et presque provocantes, il était écrit NEW-YORK, THE EMPIRE STATE. Je fis la queue et je passai juste après un type qui avait l'air de venir d'Europe de l'Est ou de Russie. Je l'entendais dire avec un accent digne des films sur la guerre froide qu'il ne comptait rester que quelque temps. Le fonctionnaire qui me reçu, moi debout, lui assis derrière son hygiaphone, se saisit de mon passeport. Habillé avec un uniforme sombre de type policier, il me demanda tout d'abord abruptement quand est-ce que je comptais retourner au Canada. Je lui répondis calmement que je n'y retournais pas puisque j'étais Français. Il me reposa la question, puis la répéta visiblement plus énervé. Je commençais quelque peu à paniquer. Allais-je me retrouver jeté hors des USA ? Devrais je rester au Canada ? Je devais reprendre mon avion dans 3 jours, aux Etats-Unis ! Comment le rattraper depuis Fort Erié ? Mes affaires étaient à Cleveland ! Je me rendais compte que je n'avais rien pour prouver que j'étais déjà passé à ce poste frontalier le matin. Le tampon canadien était assez flou et on distinguait mal la date.
Le ticket de bus ? Le système américain est un ensemble de billets reliés entre eux et pliés en accordéon. Le chauffeur découpe à chaque étape la partie qui lui correspond, et ceci tout le long du voyage. A la fin il ne reste plus que ce qu'il reste à accomplir et l'on ne peut pas savoir d'où l'on vient. Il y avait dans mon passeport un carton agrafé à New-York, deux semaines auparavant. Est-ce que c'était suffisant ?
Il y avait bien un petit bout de carton provenant d’un questionnaire que j’avais dû remplir dans l’avion en arrivant à New-York, quinze jours plus tôt. Ce léger document accroché à mon passeport n’était-il pas suffisant ?
Je pris mon courage à deux mains et je fis tout pour expliquer au fonctionnaire que j'étais Français, que j'habitais à Paris, que j'étais venu visiter famille et amis aux USA et que je devais prendre mon avion Mardi, Tuesday. Il fouilla mon portefeuille, me questionna sur une adresse annotée sur un bout de papier déchiré – les coordonnées d'une américaine rencontrée dans le car. J'avais enfin la présence d'esprit de lui tendre le papier propre où était clairement imprimée l'adresse de mon cousin à Cleveland. Que faisait mon cousin à Cleveland ? Quel métier ? Dans quelle entreprise ? Où était mon billet d'avion pour la France ? Bien sûr, je l'avais laissé à Cleveland, dans mon sac de voyage. Le douanier s'agitait sur son siège. Puis finalement il me demanda plusieurs fois quand je partais. Mardi. Tuesday ? Yes, Tuesday. C'était bon, il me laissa filer. Je me sentais un peu mieux. Il ne me restait plus qu'à passer ma besace à la fouille. Trois américains ouvrirent mon petit sac à dos et en extirpèrent tout le contenu avec des gants. Il y avait un appareil photo, une pellicule neuve dans sa boîte noire (qui fut ouverte) et un livre de Stephen King, « Cœurs perdus en Atlantide », dans sa version française, un très bon livre, plus fantastique que science-fiction. L'un des hommes me demanda où j'allais. Cleveland. Il désigna un de ces collègues en riant. Le gars venait de Cleveland. Il sourit également. Puis on me rendit mes affaires.
Un peu plus tard, je prenais ma correspondance à Buffalo. C'était un classique car gris métallisé Greyhound. En quittant le quai un feu d'artifice éclata au loin. Les passagers le voyaient très bien. tout le monde s'esclaffa que la ville de Buffalo fêtait notre départ ! Je n'ai pas réussi à bien comprendre quel était l'évènement qui déclenchait ces fusées multicolores. C'était sans doute une cérémonie locale ou un championnat de football.
En s'éloignant dans la nuit à présent tombée, je regardais défiler les lumières de la rectiligne autoroute américaine. J'avais passé une drôle de journée, mais j'en garderai éternellement des souvenirs inoubliables.
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Stéphane Curet
6 Août 2004
Révision août 2007

Merci pour tout stéphane ! Son site est lié au notre allez y ! "l'avenir du futur"

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samedi 18 août 2007

Semaine spéciale "Streets in the World" [Annonce]


Semaine "Streets in the world" ou les rues dans le monde
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Dès lundi nous aurons le plaisir de vous faire partager une nouvelle semaine spéciale avec cette fois ci pour thème principal les rues dans le monde.
Au programme tags, photos, publicités, art de rue, cinéma et musique et comme toujours pleins de petites suprises et inédis.
Préparez vous à entrer dans un monde très Urban ou le "Parkour" et les tags sont rois, ou tout ce qui est de béton prend un charme jusqu'a présent Insoupçonné.
Laissez vous bercer par le son des grillages tordus et par la vision des fleurs magnifiques qui y poussent pour nous offrir un spéctacle unique.
A bienôt sur One Word, two Words !
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La rédaction
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Une aventure au Canada, première partie [On aime]

Stéphane nous raconte son voyage en Amérique spécialement pour notre semaine Rétro-Américaine

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Une aventure au Canada partie 1

Je me souviens avoir pris le bus pour Toronto, en 2003. C'était au tout début de la guerre en Irak. J'étais venu passer deux semaines de vacances aux Etats-Unis et je découvrais avec des yeux émerveillés le nouveau monde.
A Buffalo je suis monté dans un autocar avec une plaque à l'avant indiquant en grosses lettres Toronto. Une heure auparavant, j'étais descendu du Greyhound venant de Cleveland et à destination de New-York. Ces noms sont tous féeriques pour un européen en promenade. Il me semblait n'avoir jamais vu une ville plus industrielle que Buffalo, noire de suie. Je n'étais pas triste de tourner le dos à ses tours fuligineuses.
La douane américaine se laissa franchir par le car qui entama, sans ralentir, la traversée du pont au dessus du Lac Erié. Je savais que je portais mes papiers sur moi. J'avais cependant une certaine crainte pour le retour, prévu le soir. Je venais de me rendre compte que j'étais bien en train de sortir du pays. A Cleveland, j'avais demandé un ticket pour Niagara Falls. On me l'avait procuré sans me préciser que j'allais quitter le territoire américain. Je ne m’en doutais pas car les chutes du Niagara proprement dites sont situées sur la limite entre USA et Canada. Au changement de correspondance de Buffalo, je m'étais rendu compte que j'allais peut-être me retrouver de l'autre côté de la frontière. N’aurais-je aucun problème pour revenir ?
J'allais seulement voir les chutes. L'aller et retour depuis Cleveland devaient me prendre la journée.
De toute façon, j'étais parti. Il fallait bien continuer le voyage.
Une fois le pont de Buffalo traversé, le bus s'arrêta de l'autre côté pour passer la douane canadienne. J'expliquais au douanier, qui avait un air détendu par rapport à ses collègues américains, que je ne faisais que passer. Il me tamponna mon passeport. Je pu lire Fort Erié. Ce petit bout d'orthographe française à l'autre bout du monde me fit un drôle d'effet rassurant. J'avais l'impression d'être moins perdu, d'être plus près de ma maison.
L'autocar roula encore plus d'une heure avant d'arriver à la ville de Niagara Falls. Je descendis à la gare routière située à l'écart du centre ville touristique. Je trouvais l'architecture locale plus européenne. C'était sans doute un effet davantage psychologique que réel. Un peu partout, sur les écriteaux publics de cette province canadienne de l'Ontario, on pouvait lire en anglais et en français, dans les cabines téléphoniques ou sur la pancarte touristique d'un ancien fortin militaire, par exemple.
Je me dirigeais, à pied, vers les chutes du Niagara pour lesquelles j'étais venu ici. Mon sens de l'orientation habituel m'était inutile. Il suffisait de se laisser guider par le bruit.
Je parvins tout d'abord à une sorte de fête foraine, une foire du Trône imprévue. Totalement kitch, elle était constituée d’un impedimenta de maisons hantées et autres boutiques de barbes à papas et pommes d'amour. Il fallait traverser cet espèce de souk festif avant d'arriver aux fameuses chutes.
Celles-ci à mes yeux s'avérèrent décevantes. Il me semblait que des quantités phénoménales d'eau s'écoulaient dans une dépression. Bien sûr c'était un spectacle de la nature. Mais il n'y avait pas cet effet que j'avais escompté, celui de me retrouver aux pieds de gigantesques cataractes. Non, j'étais au contraire au sommet d'un gouffre dans lequel se déversait, effectivement, un impressionnant volume de liquide torrentiel.
Reprenant ma découverte du lieu après quelques photos, je quittais des yeux les immenses gratte-ciels battis juste en face des chutes. C'étaient des hôtels touristiques de masse. Ils gâchaient l'atmosphère naturelle du lieu. Me dirigeant du côté de la frontière américaine, je longeais une partie de la ville ressemblant étrangement à une sorte de Saint-Jean de Luz ou de La Baule. Mais c'était comme si l'on avait retiré le casino pour le remplacer par un Hard Rock café géant vers lequel tous les touristes semblaient converger comme des papillons attirés par la lumière. Des boutiques de vêtements tendances s'étalaient sur cette croisette de Niagara...

(A suivre)

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Par Stéphane, merci beaucoup !


Son site : http://avenirdufutur.hautetfort.com/


Seconde partie à suivre dès demain !

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mardi 14 août 2007

Patsy Cline [musique]

Patsy Cline

Ah cette chère Patsy Cline, un vrai bonheur, une voix dure et envoûtante, un petit trésor des années 1950. Elle fut célèbre notamment pour « walking after midnight » ou encore « Crazy », cette jeune chanteuse country ne profitera pas longtemps de sa célébrité car elle décédera tragiquement dans un accident de voiture. Je tenais à vous faire partager cette artiste car elle est pour moi une icône indispensable du Rétro-Américain et a surtout interprété de très beaux morceaux ! Enjoy…

Note : 7/10

Charlotte

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lundi 13 août 2007

Plaque moi Enregaire [Site, On aime]



Plaque émaillées Enregaire
Site : http://www.enregaire.com/

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C’est fou ce que parfois la recherche d’une décoration peut être laborieuse, surtout lorsque l’on cherche des pièces spécifiques, des objets de collection ou encore des produits étrangers.
Toujours sur le thème Rétro-Américain, je vous conseille ce site très bien achalandé proposant à la vente des reproductions de plaques émaillées représentant Elvis, de vieilles publicités ou encore la plaque minéralogique d’une vielle automatique.
Le boutique est située à Pezenas dans le sud de la France et je peux vous assurer que la marchandise et de grande qualité puisque j’y suis allée durant mes dernières vacances.
Pour tous les amoureux de ces petits bouts de métal frappés, courrez-y les prix sont abordables et l’on peut commander via le net !
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Note : 8/10
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Charlotte

dimanche 12 août 2007

Semaine Rétro-Américaine [Annonce]

Envie de changer d'air, envie de changer d'époque, de traîner dans les rues de Broadway, de prendre sa vielle automatique et de parcourir la route 66 ? De déambuler dans des rues sombres simplement éclairées par quelques néons, avec le bruit des voix sortant des nombreux cafés qui vous entourent ? De redécouvrir des musiques connues, qui traversent le temps et les époques sans jamais perdre de leur intensité ? Ou alors de voir simplement quelques pin-up accrochées à chaque mur ?
Bref un petit retour dans le temps ça vous tente plus que tout ? L’équipe de « one word-two words » est ravie de réaliser votre rêve de toujours. En effet cette semaine c’est avec un grand sourire et surtout un tout nouveau concept que ce blog vous offre la possibilité de voguer au fil du temps, le temps de quelques cliques.
Une semaine rétro-américaine.
Le temps vous joue des tours sur ce blog, vous épate et vous faire sourire. L’équipe est heureuse de vous recevoir et de vous embrouiller un peu plus avec ce grand ami qu’est le temps.
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Pauline
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vendredi 10 août 2007

Cécile Corbel [musique]



Cécile Corbel, Harpiste aux doigts d’argent !

Site : http://www.cecile-corbel.com/fr/accueil-cecile-corbel-harpe-celtique.html



Magnifique cette princesse celte aux cheveux roux qui nous envoûte par sa voix cristalline et son jeu magnifique à la harpe. Cécile Corbel nous offre une escapade entre les terres sacrées, les comptes magiques et les dolmens. Plébiscitée de nombreuse fois, elle rencontrera Alan Stivell (Ndlr : Brian Boru) et bien d’autres artiste appliquant à chaque fois son style enchanteur. Du Celte en passant par l’irlandais, la belle traverse les cultures et les âges, nous procurant un bien fou ! Cette nouvelle voix du Pop-Folk n’a pas fini de nous faire rêver.
Vous retrouverez ses deux premiers albums sur son site ainsi que son journal de bord comptant ses aventures, des extraits, des news…
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Note : 9,5/10
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Charlotte

jeudi 9 août 2007

Spéciale USA 50's d'One Word [Annonce]

Semaine Rétro-Américaine 50's
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Dès Lundi prochain vous aurez le plaisir de découvrir la spéciale Rétro américaine sur One Word, Two Words, encore plus de blogs, de pubs, de films et de musiques et cette fois si uniquement pour une semaine sur les années 1950 aux Etats-Unis. Pin-ups, vieux tacots, néons kitch et route 66 au programme. Soyez au rendez vous, pour l’occasion le design à invité une jolie demoiselle à dîner.
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La rédaction
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Les Simpsons [cinéma]



Les Simpsons le film :



Springfield, un monde jaune, dans lequel nous distinguons facilement le ventre protubérant
d’Homer, la coiffure de Marge, l’air coquin de Bart, le saxophone de Lisa et la tétine de Maggie ainsi qu’un lac extrêmement pollué. Ainsi tout débute. L’écologie ? Que faire pour sauver cette ville ? Les Simpsons une fois de plus liés à des problèmes complètement frappa dingues mais qui nous concernent tous !
Homer , bien installé sur sa moto, qui sauve sa ville à coups d’accélérateur. Marge qui sauve son couple à coup de mots touchants. Bart qui découvre que finalement son père est loin d’être un looser. Lisa qui découvre l’amour. Maggie qui dévoile sa vraie personnalité. Des personnes connues de tous mais qui nous surprennent malgré tout dans ce premier long métrage de la série culte de Matt Groening
Des moments hilarants sillonnent ce film, tels que le célébrissime « Spider cochon, Spider cochon il peut marcher au plafond … » ou encore « Tiens prends ça et ça …. Oh nooonnn l’onde de choc ! » et encore bien d’autres. Mais pour comprendre tout ceci il ne vous reste qu’une chose à faire : Filler au cinéma !
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Note : 7/10
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Pauline
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mercredi 8 août 2007

La mer... [pub]

La mer...




Toujours dans les pépites, cette pub fiction est ce qui pourrait bien nous arriver si nous continuons de polluer ! Notez la qualité des effets spéciaux, mais également la beauté des plans et surtout la présence d’une musique très prenante ! Un petit bémol ? Bah oui cette pub est pour de l’alcool (A consommer avec modération et même pas du tout si vous pouvez c’est encore mieux !) , à quand des campagnes similaires pour de vraies associations de défense de l’environnement ?

Note : 9,5/10

Charlotte

Florence Foresti [On aime]


"FLORENCE FORESTI"

Florence Foresti est une humoriste aux talents multiples et que j'ai découvert dans l'émission "On a tout essayé" présentée par Laurent Ruquier. Dans cette émission elle y incarne plusieurs personnages totalement loufoques mais très drôle (La belle-mère Myriam, Clotilde préfère qu'on l'appelle Clo, 16 ans et demi, en terminale au Lycée Jean-Luc Lahaye, trop ‘vénér' et Brigitte 29 ans et 12 mois, future femme de footballeur à la recherche d'un mari). Elle apparaît également dans une autre émission présentée par le même animateur ou elle interprète avec brio les Stars et les hommes/femmes Politiques du moment. Elle fait un carton avec son "one woman show" "Florence Foresti fait des sketches à la Cigale" on ou l'on peu se marrer du début jusqu'a la fin avec en autre « j'aime pas les garçons». Mon préféré est le dernier ou elle présente un objet insolite et tenez vous bien l'objet en question est l'avion de Barbie!
Bref de quoi bien rigoler devant sa télé ! A vous les studios !


Note : 9,5/10


Gaétan

Mara [Blog]



Mara
http://www.sargas.net/mara/




Ouvrez une porte qui grince, frôlez quelques vieux journaux, levez la tête pour admirer les jupons garnis et les chapeaux haut de forme, oui vous êtes bien dans l’univers de Mara, jeune Illustratrice de 22 ans à qui on voue tout simplement un culte dès qu’elle nous offre un de ses dessins.
Sur ce blog elle nous dévoile pas à pas la conception de son album « Clues », mais aussi ses fan-arts, ses esquisses, ses recherches, ses illustrations, c’est une artiste complète, débordante de talent dont on devrait parler bien plus souvent.
Son trait est appliqué, la colorisation est tout simplement divine, il suffit d’un dessin pour qu’elle nous offre une tornade de sensations fortes, ses hommages produisent un effet hypnotique notamment grâce aux lumières et aux couleurs, ainsi que par les expressions données aux personnages. On se laisse transporter dans ce monde enchanteur où tout est possible, mélanges de souvenirs, de romance et de temps oubliés.
Mara on te souhaites tout le succès que tu mérites, il serait dommage de passer à coté de tout ce que tu fais.
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Note : 10/10
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Charlotte

mardi 7 août 2007

Pub Citroën C4 [On aime]

Citroën C4



Poursuivons une nouvelle fois avec ceci, cette pub n’est pas la dernière de la série citroen mais elle n’en est pas moins impressionnante, bien avant le film de Michael Bay (Ndlr :Transformers) on retrouve l’univers de ces robots et agréable surprise tout cela est super bien réalisé !
Une envie de patiner avec ce genre d’engin ? Une pub à voir et à revoir rien que pour la performance des effets spéciaux ! Une pépite rare dans les productions françaises…

Note : 9,5/10

Charlotte

Verres Canet [On aime]

Pub Verre Canet par Danny Boon



Enorme, cette pub, tout comme l’artiste d’ailleurs ! Certains auront reconnu la voix du très célèbre humoriste Danny Boon et ça lui va bien. Le talent ne passant plus par l’image et les gestes mais par la voix, jolie performance qui malgré sa durée (si courte !) nous décroche forcément un grand sourire !
Parce que la rédaction s’est bien marrée et que l’on aime notre Danny chéri !
(Extrait de la Pub MacDo actuellement sur toutes les chaines… ou presque)
Au passage les verres sont zooli ! (eh oui j’ai été ‘tentatée’)

Note : 9/10

Pauline & Charlotte

Bonne fête [On aime]

Souhaiter une bonne fête à notre petit Gaétan, alors de la part de toute l'équipe de One Word, Two Words, bonne fête !
Mais surtout bonne fête à tous les
autres (Gaétan biensur ^^)
Toute l'équipe


Collection de Figurines [Passion]



Souvenirs, souvenirs,

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« Force jaune », « Force rouge », euh « Autobots transformation », ça vous rappelle de bons souvenirs, vous aussi vous avez craqué dans les magasins de jouets pour vous faire offrir un power ranger, un chevalier du zodiac ou encore un tranformers ? Ce n’est plus une honte de rester dans l’enfance, aujourd’hui que l’on ait 7 ou 77 ans comme le dit la chanson, on collectionne, on affectionne ses petites figurines, on les chouchoute, on rêve aux instants passés et à la douceur de l’innocence. Cependant papa et maman ne sont plus avec vous et ces petits objets prennent de la valeur pour atteindre souvent des prix exorbitants, certes beaucoup travaillent mais ce n'est pas à la porté de toutes les bourses !
J’ai la joie d’accueillir les rangers blanc, rose et rouge aujourd’hui grâce à Pauline, mais vous comment faites vous ? Quels sites utilisez vous ? Dites nous tout et allez vite compléter votre collection !
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Charlotte
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lundi 6 août 2007

RealNeo [cinéma amateur]

RéalNeo Cinéma Amateur
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Parfois les blockbusters Américains, les films douteux du cinéma français nous agaçent, nous froissent. Il est bien de retourner aux sources, de retrouver les joies d’une pitite caméra, d’acteurs amateurs et de rires incontrôlables. James et ses amis nous offrent ça sur un plateau d’argent, de l’humour de l’imagination, des cascades ! Bref de bons petits films amateurs et puis quand on aime, on aime ! Ah ça fait du bien, à siroter sans modération avec quelques petits glaçons.
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Note : 7/10
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Charlotte
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NekoBlog [blog]



Nekoutez moi ! Oyé Oyé, puisque nous avons lancé notre catégorie blog ce soir, autant poursuivre avec une graine de mangaka. Estelle alias Neko -Telle nous ouvre les portes de son monde entre naruto et une vielle geisha. Soyons sérieux, le dessin c’est sa passion et elle en veut, nous notre passion c’est Neko bah oui chacun son truck, la promo pour les amis, il n’y a rien de mieux, alors allons y !
Un trait qui progresse chaque jour, des dessins de plus en plus soignés et une rage de vouloir tout percer.
Un blog suivant les envies et les humeurs, où chacun je l’espère trouveras son bonheur, à vos claviers !

Note : 7/10

Charlotte

MuteMath [musique]


MutheMath
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Chacun sait qu’il n’est jamais trop tard pour découvrir une perle, une petite chose qui illumine votre vie, enfin entre nous je dirais plutôt mes oreilles !
Traînant inlassablement sur des sites musicaux, j’ai dégoté le générique de Transformers (Ndlr : Dernier film de Micheal Bay actuellement au cinéma) et puis après quelques notes subtilement métalliques et électroniques, se profile une voix rauque et angélique étrangement jumelée avec celle de Sting. « Waa » le clavier s’en souvient toujours mais qui est t-il, est–il seul, est-ce nouveaux ? C’est Mute-math (Mutemath… toutes les orthographes sont bonnes) et non ce n’est pas du début de la semaine mais plutôt de 2006 et j’avoue ne pas avoir ouie leurs chansons à la radio avant. Damned, ce groupe est unique ! Originaire de la Louisiane, il nous offre des sonorités planantes, des chansons rock déstructurées et des refrains enivrants ! Un vrai plaisir, même les plus sceptiques ont été convertis ! Et vous ?

Note : 9/10

Charlotte

Le blog de Hervé [blog]

Le blog de Hervé




Hervé, ou plutôt le Blog d’Hervé un mot MAGNIFIQUE, oui oui magnifique.
Volant de pages en pages et laissant mes yeux courir sur les nombreux liens de la bloggosphère , j’ai accosté sur un petit îlot robot-romantique celui de Hervé Creach dessinateur lui aussi ayant adopté le blog pour diffuser ses oeuvres. Ce jeune prof d’arts plastiques nous dévoile grâce à ses planches, ses photos et ses fan-arts des instants uniques et drôles, des souvenirs, des rencontres.
Un style épuré et original, des couleurs chaudes, un personnage bien à lui et une folle envie de Transformers. Un cocktail détonnant qui raviras toutes les générations et qui fait de son blog un espace ou il fait bon vivre !
Ah oui j’oubliais, encore un mot MERCI Hervé

Note : 10/10

Charlotte

Heroes [série TV]



"HEROES"

Le Samedi 30 juin 2007 nous avons découvert une nouvelle série "HEROES" diffusé en prime time sur une grande chaîne. La série est excellente, d'abord par son histoire ou nous partons à la rencontre d'individus ordinaires qui se découvrent des capacités ou des dons "hors du commun" et que nous rêvons d'avoir. Cette série bénéficie d'un très bon casting avec Adrian Pasdar (Nathan Petrelli), nous avons pu le voir dans "Les chemins de L'étrange" et dans la série "Desperate Housewives" ensuite avec Milo Ventimiglia (Peter Petrelli) "Rocky Balboa" et enfin le petit dernier Noah Gray-Cabey (Micah Sanders) jeune acteur qui à joué dans "Grey's Antomy" ou encore "Ma famille d'abord". La série bénéficie d'une bonne mise en scène qui cerne tous les personnages , mais également d’une idée novatrice qui est que les jeunes héros sont confrontés à leur pouvoir, aux autres, à leurs démons, de plus les effets spéciaux sont très soignés et renforcent admirablement bien le caractère surnaturel de ce petit bijoux. Pour conclure, un divertissement accrocheur qui mérite de se retrouver dans mes coups de cœur de la semaine.

Note : 9,5/10


Un lien héroïque : http://www.heroes-france.fr/

Gaétan

Bienvenue !

Bonjour à toutes et à tous !
Bienvenue sur notre blog One Word, Two Words.
Tout d'abord je tiens à vous remercier pour votre visite, nous vous souhaitons une agréable lecture ! D'un coup de tête et de lettres ce petit bébé voit le jour pour vous parler de cinéma, de littérature, de musique, de théâtre, de blogs, de dessin, de concerts, de tout ce qui touche à notre culture. Nous sommes ici pour vous proposer nos avis, nos idées, nos coups de coeur et pour vous faire partager notre passion pour l'écriture.
Encore un fois merci d'être parmi nous !

Charlotte, Marie, Pauline et Gaétan